Photographier une architecture instaure un dialogue entre un medium figeant une temporalité sur un seul plan et un espace architectural construit à trois dimensions. La photographie, par son essence, convoque une subjectivité qui doit rejoindre l’évidence d’une pensée architecturale habitée et habillée de lumière, de matière, d’espace, d’ergonomie, d’esthétique et d’humanité.
« Pourvu qu’il fasse beau ! »